Le blob du Caldou

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dimanche 4 septembre 2011

Mangez des maths

Votre mathématicien préféré est invité chez vous.
Comme d'habitude, il va fouiller dans son assiette en vous racontant des histoires d'ours cartésien qui change de repère...


Voici venu le temps de montrer que vous aussi, vous maitrisez les maths, et pas n'importe quoi : les fractales.
Pas la peine de faire cette tête, voici de quoi je parle :

Ce joli légume est une fractale. C'est une image composée d'une répétition d'elle-même, répétition elle-même composée de répétition d'elle-même.
Bon, pour faire plus simple, on peut aussi dire que c'est un chou, romanesco de son p'tit nom.

Armé d'une cuisson d'environ 20 minutes, il est plus proche au gout du brocoli que du bruxelles, ce qui est un autre de ses points forts.

Et en plus, comme votre matheux sera occupé à étudier, il mangera le reste sans faire de problème (attention, lui mettre de coté une jolie tête avant la cuisson pour l'occuper...).

samedi 18 décembre 2010

Vanille Cassis ?

Sans vanille ni cassis !

Jetons un coup d'œil sur la liste des courses :

  • du boulgour
  • des betteraves (déjà cuites)
  • du miel
  • un yahourt
  • de la crème fraiche
  • des escalopes de porc (on va dire une par portion)



Et maintenant, on commence à s'amuser :
Mettre de l'eau à chauffer dans une casserole. On salera plus tard, mais on couvre de suite.
Découper la viande en bouts, et les betteraves en tranches (garder le jus à vue, des fois qu'il fasse des bêtises).
Juste avant de finir, on met à chauffer 2 poêles, avec un peu de beurre dans l'une et un peu d'huile dans l'autre. Ne pas inverser, sinon ça fait pareil.
Faire griller le cochon dans le beurre et chauffer tout doucement les betteraves dans l'huile. On peut mettre un peu de miel dans les escalopes, mais pas trop.
Pendant ce temps, l'eau s'est mise à bouillir ! Alors hop, on sale et on verse le boulgour qu'on laisse cuire selon les instructions.
Penser à remuer le tout régulièrement
De l'autre côté, il y a une petite casserole qui attend son tour, patiemment. Quand le reste est presque prêt, on se dit "tiens, j'ai oublié de faire la sauce". Donc on ouvre le pot de crème, on en prélève deux cuillères, on fait subir le même sort au pot de miel et on vide le yahourt. Et on chauffe aussi doucetement en mélangeant délicatement (le temps que le miel fonde de la-dite cuillère).

En attendant, petit jeu mathématique : combien nous faut-il de places pour tout faire cuire en même temps ?*

Une fois que tout est à point, servez (vous), sans oublier le jus de betterave mis de coté.
Et seulement quand il ne reste plus rien à manger dans l'assiette, on est à même de comprendre le titre de cette recette.


Du grand art, non ? **















* Réponse : 4.
Bravo, vous savez compter.
Mais c'était juste pour narguer mon moi-du-passé.
Qui pourrait rétorquer à son moi-du-futur, c'est à dire moi-du-présent (enfin, du passé quand ces lignes seront lues) que de toute façon, je n'ai utilisé que 2 feux en même temps.
Certes.
Mais je n'ai pas suivi la recette !

** Comme d'hab, question rhétorique. Je connais la réponse, merci.

dimanche 5 décembre 2010

Gateau-flan sous forme de cake

Et le tout, à base de patate douce et à la poire.
Recette trouvable ici
Et recopiée intégralement par pure flemme future :

Ingrédients (pour 5 personnes) :
=>2 poires
=>1 patate douce (de taille moyenne)
=>200 g de farine
=>150 g de sucre
=>1 sachet de levure
=>2 oeufs
=>2 cuillers à soupe de fromage blanc
=>10 cl de lait

Préparation :
Eplucher et couper en cubes la patate douce. La faire cuire dans l'eau bouillante environ 10 min.
Dans un saladier mettre la farine et la levure.
Dans un autre saladier, mélanger le sucre, les oeufs, le lait, le fromage blanc.
Lorsque le mélange est bien lisse, l'ajouter à la farine.
Couper les poires en cube et les ajouter à la préparation.
Egoutter les patates douces et les rajouter également à la préparation.
Mettre la pâte dans un moule a cake beurré, dans le four préchauffé à 180°C (thermostat 6).
Cuire 30 à 35 min (surveiller)...


Et pour une fois, j'ai suivi la recette, donc je vous laisse faire pareil... Pensez juste à ajouter un peu de cannelle pour agrémenter le tout.
Cotés positifs : c'est sucré, ça a goût de poire, c'est un gâteau...
Cotés négatifs : le gâteau noirci sans qu'on lui demande et on ne sent pas la patate douce.

La texture est un peu pâteuse, flanesque pour être précis, et les quantités de la recette forts généreuses (on en a rempli un moule à cake et un plat à gâteau, c'est dire !) et le tout ne gonfle pas beaucoup beaucoup.

Améliorations possibles : plus de patates douces, sous la forme de purée qu'on mélange à la pâte - histoire de colorier la-dite pâte, séparer les jaunes des blancs et monter ces derniers en neige avant de les intégrer, doubler la dose de levure...

samedi 13 novembre 2010

Gateau à l'Ananas (entre autres)

Pour un gâteau d'environ quatre parts (ou 8 si vous êtes 8 et que vous n'avez pas faim), il faudra mélanger (dans l'ordre approximatif) :
2 barres de chocolat de cuisson,
1 boite d'ananas en tranches (pour plus de facilité).

100 grammes de beurre plus ou moins fondu,
100 grammes de sucre (la cassonade va très bien, merci),

2 œufs,

1 sachet de poudre d'amande (à peu près 125 grammes par chez moi),
1 autre de levure chimique (quelques grammes dans le même coin),
100 grammes de farine.

Au préalable on beurre-et-farine le plat dans lequel on va faire cuire le gâteau et on en parsème délicatement le fond de tranches d'ananas entières (bonne chance pour parsemer délicatement). Les tranches qui restent, on les réduits en petits bouts, on transforme les deux barres de chocolat en pépites et on réserve les deux. (Ce qui veut dire qu'on ne les mange pas tout de suite, je sais, c'est dur.)
Ensuite, dans un saladier ou un autre contenant au choix, on mélange (énergiquement) le beurre et le sucre.
Grande étape suivante : casser deux oeufs et les verser dans le récipient. Sans mettre de coquilles vu qu'elles sont assez fourbes pour tenter de se fondre dans le décor (tout en restant dures... je sais, c'est dur à suivre).
Si vous avez bien suivi, c'est l'heure d'ajouter et d'incorporer les poudres diverses. Et donc de verser la farine, la levure et la poudre d'amande tout en continuant de remuer.
Enfin, derniers éléments... mais aussi les premiers, souvenez-vous, j'avais dit de pas manger le chocolat tout de suite... C'est parce qu'il faut maintenant le mélanger avec la pâte, ainsi que les morceaux de bouts d'ananas, jusqu'à plus soif.

Une fois que tout est bien pris ensemble, vous pouvez commencer à monter le mur.

Ou plus simplement verser dans le plat où vous attendent depuis 3 heures les tranches d'ananas qui commencent à avoir froid et à s'ennuyer !

Pour finir, on enfourne à four chaud (180°) et on laisse 30 minutes (voire un peu plus si ça ne suffit pas).
Une fois le service effectué, vous pouvez napper le gâteau avec le jus qui était resté dans la boite.

Fin ^^

jeudi 21 octobre 2010

Soupe solide

Je vous vois venir, et je suis tout à fait d'accord.

La soupe solide, ça n'a pas forcément un grand intérêt... Mais c'était une idée qui me trottait dans la tête et que j'ai tenté (et à peu près réussi) de matérialiser.
Et puis avec des moules, on peut faire des formes rigolotes, donc c'est déjà pas mal !

Pour réussir ce met, il faut donc :
- de la soupe (bien liquide, on peut même se contenter d'un bouillon fort goutu, c'est sans doute plus facile)
- de la polenta (en fonction des indications sur la boite et du volume de liquide)
- éventuellement des moules à p'tits gâteaux de formes diverses et variées

Faire chauffer la soupe bien liquide (jusqu'à ébullition ? Bref, suivre le mode d'emploi sur la boite) puis verser la polenta. Si vous utilisez de la soupe (et donc déjà un peu épaisse ou avec des morceaux) diminuez la quantité versée. Pour du bouillon, suivre les instructions.
Quand le mélange est prêt mais pas encore refroidi, verser dans les moules et laisser prendre la forme.

Et voilà !

samedi 2 octobre 2010

Le Hacksteak

Vous le savez, il existe une chaine de télévision franco-allemande, Arte. Vous ne le savez peut-être pas, mais sur cette chaine, il existe une émission, le dimanche soir à 20h : Karambolage. Il s'agit de présenter les petites différences et autres points communs entre les deux pays, en deux-trois rubriques et une devinette.
Tout ceci est très bien me direz-vous, mais quel rapport avec ce blob ?
Pas grand chose sinon que je la regarde régulièrement, et qu'on y trouve de drôles de choses.

Attention, il s'agit là d'un voyage en une contrée généralement fort peu réputée : la gastronomie allemande.
Frikadelle, Hacksteack, boulettes... tout ceci, pour un allemand, c'est la même chose : un steak haché.
Pas un simple steak haché, délicieux (si, j'insiste) cru avec un œuf, du sel, et de la moutarde par dessus.
Mais plutôt un étrange mélange de tout ce que l'on peut trouver dans une cuisine.

Voici donc un exemple de recette, pour deux personnes :

  • deux steaks hachés
  • du pain qu'on fait un peu tremper dans...
  • ... du lait pour le ramollir
  • un petit oignon
  • un peu de vin blanc
  • des épices, herbes et autres condiments en vrac et en quantité
  • un œuf
  • de la crème fraiche
  • de la sauce tomate


On mélange tout de manière bien homogène jusqu'à ce que la texture ne soit pas trop liquide, et on fait chauffer du gras dans une poêle.
Quand le gras est chaud, on prend une grande cuillère de la mixture et on en fait une petite galette.
On en fait dorer autant que la poêle peut en contenir (ou bien une par personne) et on sert.
Pendant qu'on en mange, on en met d'autres à chauffer, et on continue jusqu'à ce que le saladier soit vide ^^

Bon appétit ! (parce qu'en plus, c'est bon !)(du moins, si on ne met pas trop n'importe quoi dedans, par exemple, du sucre en poudre c'est sans doute moyen, comme la plupart des confitures...)

dimanche 5 septembre 2010

La pâte pâteuse

Mais aussi et surtout aux pruneaux, ces derniers pouvant être remplacés par d'autres fruits séchés du même type.

Encore une fois, il va falloir sortir le mixeur (il n'y a jamais trop de bonnes raisons de faire mumuse !)
Avant, on va faire un tour au supermarché du coin et on se procure un sachet de 500 grammes de pruneaux dénoyautés et une grosse pomme (ou deux petites, c'est pareil).

On met 30cl d'eau dans une casserole.
On ouvre le sachet de pruneau.
Perso, j'ouvre chaque pruneau en 2, pour que la chair puisse ressortir.
On épluche la pomme et on coupe des petits bouts tous meugnons.
On verse les fruits dans l'eau.
On met à chauffer à feu doux, jusqu'au moment où il reste assez d'eau pour mixer mais pas assez pour se retrouver avec une soupe de pruneaux (sinon, on a de la soupe et pas de la pâte de pruneau... Je sais, c'est logique, mais pensez un peu à vos petits camarades qui ont du mal à suivre !)
On enlève du feu (que l'on peut arrêter) et on mixe joyeusement.

C'est la deuxième fois que je suis cette recette, et c'est pas mauvais. Bon, le problème, c'est que je rate systématiquement la recette de bradj que je tente de faire avec cette pâte, mais baste !

(Quoique cette fois, c'est principalement le mode de cuisson qui coince... )

Article écrit tout en tissant un truc avec un bout de fil, un autre de carton... et une fourchette. Vous voilà bien avancés maintenant !

dimanche 8 août 2010

Encore du poulet !

Mais en plus, il s'agit de poulet à la crème !

Me voici bien embêté : j'avais prévu une certaine manière et certains ingrédients... et j'ai pas suivi les prévisions !

Me voici donc contraint de vous présenter les deux versions, si quelqu'un veut tenter (ou moi même, mais un peu plus tard ^^).

Vu que c'est une recette que j'ai bafouillé en sortant de la sieste (oui, c'est très dur les vacances ^^ ) je n'ai aucune idée des proportions, sauf quand c'était indiqué sur l'emballage. Ce qui a servi pour 5 parts, ce qui n'est pas mal je trouve.

  • 600 grammes d'escalopes de poulet
  • 2 courgettes moyennes
  • 125 grammes de raisins secs
  • 1 gros oignon
  • crème fraiche
  • une petite cuillère à soupe de miel
  • des pâtes
  • des champignons


Recette théorique :
Préparer et commencer à faire cuire les champignons (ou décongeler, c'est pratique aussi).
Couper l'oignon en deux, puis chaque moitié en petits bouts.
Découper le poulet en petits bouts, et les courgettes en rondelles assez fines.
Mettre à chauffer de l'huile dans 2 poêles.
Quand l'huile est chaude, on verse dans la première la moitié de l'oignon et le poulet en p'tits bouts. Quand ils ont pris une jolie couleur légèrement dorée, on rajoute la crème puis les raisins.
Dans l'autre, on fait pareil, mais avec la moitié d'oignon qui nous reste sur les bras et les courgettes puis les champignons.
Pendant ce temps, on a aussi prévu l'eau des pâtes, donc on peut en profiter pour les verser.
Quand tout ça est à peu près prêt, on verse le miel dans les courgettes, on s'assure qu'il se mélange bien et qu'il chauffe un peu, et on sert.


Ce qui s'est vraiment passé :
Mettre de l'huile à chauffer au fond d'une grande casserole.
Hacher en vitesse un oignon avant que l'huile ne soit trop chaude et ne décide de s'échapper en sautant partout. Le jeter dans la casserole.
Réduire le poulet en petits bouts en espérant que les oignons ne crament pas trop vite. L'ajouter au mélange, constater qu'il est un peu trop tard, mélanger.
Pour éviter que la situation n'empire, rajouter un pot de crème et baisser les plaques électriques.
Découper les courgettes en rondelles. Les ajouter puis remélanger.
Mettre les raisins secs, de préférence ceux qui ne sont pas prévus pour la cuisine, ce serait trop logique.
Touiller.
Mettre de l'eau à chauffer pour les pâtes.
Ajouter une grosse cuillère à soupe de miel dans la première casserole, histoire de s'assurer que ce sera trop sucré.
Touiller de temps en temps.
Verser les pâtes.
Quand les pâtes sont prêtes, se rappeler que le plat n'a pas encore été salé/poivré. Corriger ce fait séance tenante.
Servir le tout et bien mélanger.
Chercher les champignons dans l'assiette.
Manger quand même.


Notons que ce plat se mange aussi légèrement tiédi voire froid.

Notons aussi que je ne suis pas mécontent de mon résultat, pour une élucubration post-sieste ;)

samedi 13 février 2010

La mousse à Ka

La légende dit que Ka était le capitaine d'une flotte de navires assurant le transport de fruits et légumes en Méditerranée. Un jour, Une jeune fille est venue le voir pour être mousse. Ka était en plein chargement, 2 bateaux d'aubergines, et un de divers produits, genre huile d'olive, poivrons, oignons, quelques œufs, de la farine et même une vache et une brebis ! Donc il l'a embauché, et tout de suite mis au travail.
Manque de bol, à l'époque, en Grèce, les Dieux étaient souvent à se promener sur les quais et avaient sale caractère. C'était notamment le cas du dieux des chambres bien rangées, et il n'a pas aimé que les navires ne soient pas rangés par produit, et encore moins qu'un navire ait plusieurs chargements différents. Il s'est donc enflammé, et le bateau mal rangé a fait de même.
C'est depuis ce temps qu'il parait qu'avoir un femme à bord pourrait porter malheur.

Pourtant, le capitaine Ka n'a pas tout perdu, puisque de cet incident, il a tiré une recette qui porte encore son nom aujourd'hui : la moussaka.


Donc pour faire une moussaka pour 4 personnes, il faut :

  • 2 aubergines
  • 4 tomates
  • 300 grammes de viande hachée
  • 1 poivron
  • 2 petits oignons (ou un gros)
  • un peu de vin blanc
  • du lait
  • de la farine
  • de la feta
  • du fromage râpe
  • un œuf
  • du poivre, du sel, de la muscade et de l'huile d'olive



Tout d'abord, on coupe les aubergines en rondelles et on les fait dégorger (on les laisse dans du sel, ça marche). Ensuite, il faut faire frire les aubergines. Ne pas hésiter à rajouter de l'huile dans la poêle entre chaque tournée, sinon ca crame et c'est pas top.

Pendant ce temps, on hache les oignons et le poivron, qu'on fait revenir ensemble eux aussi dans de l'huile, avec un peu de sel et de poivre (on peut même ajouter du paprika si on en a, juste pour le fun). Une fois l'oignon doré, on ajoute la viande hachée, qu'on laisse cuire en remuant de temps en temps. On en profite pour découper les tomates qu'on ajoute en même temps que le vin blanc quand la viande est cuite et on laisse mijoter un gros quart d'heure.

Une fois les aubergines bien imprégnées et dorées, on en tapisse le fond d'un plat à gratin. Normalement, il reste la moitié du stock après l'opération, c'est normal. On ajoute le mélange contenant la viande et on recouvre avec le reste des aubergines

Hophophop, c'est pas fini, faut encore faire quelque chose ! Mettre à chauffer doucement le lait, ajouter de la feta, du fromage râpé et un œuf dedans, et bien mélanger le tout. On intègre une petite cuillère à soupe de farine et un peu de muscade en continuant à bien mélanger. Il faut que le mélange prenne un peu tout en restant liquide... bonne chance !

On verse donc la béchamel améliorée sur la dernière couche d'aubergines et on recouvre de fromage rapé.
On enfourne ensuite une demie-heure, ou un peu plus si le fromage du dessus n'est pas bien doré.

A la semaine prochaine !

samedi 28 novembre 2009

Tout neuf

Il est arrivé ce matin, et à peine installé, il a déjà su se rendre utile.

Qui ?

Le four bien sur !

Et voici la star, sans la pizza qu'il a cuit :

Reste plus qu'a le faire bosser encore...

Mise à jour du 1er décembre, avec la recette de la Pizza !


Prendre (ou faire) une pâte à pizza
Préchauffer le four selon les indications du carton à pâte à pizza
Etaler cette dernière sur du papier sulfurisé, dans un plat plutôt plat, ca marche mieux
Garnir d'un fond de sauce tomate, mais pas trop, sinon la pâte a du mal à cuire
Ajouter les ingrédients (la pizza test était "Poivrons, 3 fromages, jambon, avec supplément champignons" )
Faire cuire, toujours selon les instructions du carton
Découper, ou rouler.

Manger

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